Compter des moutons ou parler au Bon Berger?

Nous connaissons toutes ce scenario: nous nous affalons sur le lit, épuisées, en grand besoin d’une bonne nuit de repos, pour nous réveiller deux ou trois heures après, incapables de retrouver le sommeil. C’est là que nous sommes vulnérables. Les pensées fusent, l’anxiété nous guette. Même les craintes les plus insignifiantes prennent du volume dans l’obscurité. La paix nous échappe. Il est difficile de réfléchir avec cohérence.
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