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Transmettre l’espoir au Tchad.

Engagée depuis bientôt un quart de siècle dans ce pays d’Afrique Centrale, Agathe Burrus continue à servir un peuple en quête spirituelle.
Alexia Huet

Il n’est pas facile d’habiter dans ce pays dont la moitié de la surface est occupée par le désert du Sahara. La température atteint facilement les 40°C et la corruption est largement présente. Cette dernière n’aide d’ailleurs pas les jeunes Tchadiens à trouver leur place dans la société. En effet, même avec un diplôme en poche, les postes sont généralement accordés en fonction du nom ou de l’ethnie.

C’est dans ce contexte que l’école Pro Radja a été créée; «radja» signifie «espoir». «Je vois ceux qui ne sont pas chrétiens et qui n’ont pas l’espérance venant de Dieu. Il est difficile pour eux de tenir; ils deviennent vite désabusés et beaucoup sombrent dans l’alcool à cause de cela», explique Agathe Burrus, missionnaire avec Pro Radja. A l’inverse, elle relève que l’espoir réside là où il y a un engagement pour Dieu.

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