Heureuse d’être la femme que je suis?

Imaginez une équipe de football féminin qui chercherait à gagner une coupe. Pensez-vous qu’elle atteindrait son objectif si chaque équipière en faisait à sa tête? La gardienne de but déciderait qu’elle s’ennuie tout au fond du terrain. L’avant-centre aurait soudain des élans de défenseur, et ainsi de suite. Vous souriez. Vous secouez la tête.
Et pourtant, n’est-ce pas ainsi que les chrétiennes traitent souvent le «poste» que Dieu, leur divin «entraîneur», leur a attribué pour un temps donné?
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