Privée de l’expression de mes dons, qui serais-je?

«Avant ma maladie, j’étais musicienne et on me demandait souvent de jouer dans les mariages. Aujourd’hui, j’ai changé de pays. Personne ici ne m’a connue avant ma maladie. On croit que je ne sais rien faire», raconte Céline*, la voie entrecoupée par des sanglots étouffés.
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